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des Ouvrages critiques sur Pierre Jean Jouve Décembre 2008 |
Jacques Darras
La Transfiguration d'Anvers « Jouve après Jouve » Arfuyen - 2015 |
Sur « Jouve après Jouve » de Jacques Darras (Page en construction) |
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Quelques extraits des premières pages ▼
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« Poème contre le grand crime, je le déclare le plus grand poème français de la Guerre 14-18 » « Comment passe-t-on du vers whitmanien ample et clair au vers symboliste délibéremment obscur des Noces ? » Quelques extraits des premières pages ►
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« Jouve après Jouve » « Jouve dépassé par son destin, Jouve en crise, c'est la poésie française entière, se dit-on, qui fut en jeu ces années-là. Les débats affectifs et littéraires du poète arrageois expriment alors une crise aiguë de la sensibilité générale. » « Déjà m'avait frappé l'absence notoire de poésie française au cours de la Première guerre mondiale, abondamment présente en revanche chez les combattants anglais. Je n'avais pas lu Pierre Jean Jouve, le "premier Jouve". Comment l'aurais-je pu d'ailleurs ? Je ne savais rien de sa présence aux côtés de Romain Rolland, en Suisse, dès 1915. De leur admiration commune pour Tolstoï. De leur engagement auprès des blessés et traumatisés dans les hôpitaux.[...] Comment aurais-pu me procurer le Poème contre le grand crime [jamais réédité depuis 1916] ? » « Poème contre le grand crime, je le déclare le plus grand poème français de la Guerre 14-18. Y adjoignant, pour faire bonne mesure, Vous êtes des hommes, paru à la NRF en 1915. Il suffit d'ailleurs de lire la non moins introuvable Anthologie de poésie française 1914-1919, réunie par Romain Rolland, pour mesurer la différence de qualité avec les autres participants, Vildrac, Arcos, Duhamel, Durtain, Romains. Qu'est-ce qui fait l'originalité de Jouve parmis eux ? Pas la peine de s'embarasser de précautions oratoires : sa compréhension juste de Walt Whitman. D'entre tous les unanimistes ou membre de l'Abbaye Jouve est le seul à bien entendre les rythmes du poète de Manhattan. C'est un musicien à l'oreille juste. » [Le chapitre de Jacques Darras va ensuite s'attaquer à la question :] « Cependant la question qui se pose aux lecteurs de poésie est d'ordre prosodique, pour le moins. Comment passe-t-on du vers whitmanien ample et clair au vers symboliste délibéremment obscur des Noces ? » ►Voir l'article de Patrice Beray, « Jacques Darras et le poème, ce «bon conducteur de réel » sur le site de Mediapart. |
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Ce texte : © Jacques Darras et Jean-Paul Louis-Lambert Les couvertures des livres : © Éditions Arfuyen Dernière mise à jour : 5 avril 2015 Première mise en ligne : 5 avril 2015 |