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Béatrice
Bonhomme, Machteld Castelein, Dorothée
Catoen-Cooche (direction)
Pierre
Jean Jouve au carrefour des mondes modernes et
contemporains
L’ouvrage Pierre
Jean Jouve, au carrefour des mondes modernes et
contemporains, dirigé par trois spécialistes de
l’oeuvre de Pierre Jean Jouve, permet de dresser cette
oeuvre, aussi suspecte qu’admirée, entre cathédrale et
mythe, comme un moment crucial de notre modernité,
descendant, d’une part, de Baudelaire, Mallarmé ou
encore Edgar Poe, rencontrant des oeuvres soeurs comme
celle de Bataille et fondant, d’autre part, notre
contemporain, celui de nos poètes, écrivains, peintres
et compositeurs.
Ont contribué à cet ouvrage : Rim Amira, Jérémie Berton,
Marie-Antoinette Bissay, Béatrice Bonhomme, Machteld
Castelein, Dorothée Catoen-Cooche, Stéphane Cunescu,
Éric Dazzan, Maxime Deblander, Armando Del Romero,
Pierre-Marie Deparis, François Lallier, Géraldine
Lombard-Violino, Jean-Paul Louis-Lambert, Serge
Meitinger, Anis Nouaïri, Marion Pélissier-Mouillet,
Aaron Prevots, Françoise Salvan-Renucci, Myriam
Watthee-Delmotte.
Publié le 16 novembre
2023, 474 pages, collection Thyrse (N° 21), Éditions
L'Harmattan
> Lien vers l'éditeur
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Thierry René Durand
Vie et Chaos dans
le roman
contemporain
Régis Jauffret, Janine
Matillon, Philippe Claudel, Pierre Péju, Louis-René Des
Forêts,
Philippe Renonçay, Philippe
Raymond-Thimonga, Robert Alexis, Pierre Jourde, Tristan
Garcia et Yves
Bonnefoy
>
Editions
L'Harmattan, Collection Espaces Littéraires
>
Vers le site de Philippe
Raymond-Thimonga
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Regards
de
Thierry Durand sur Pierre Jean Jouve
via
les romans
de Philippe Raymond-Thimonga
«
L’œuvre thimongienne comporte ainsi un aspect statique
et clos, d’une
part, et un aspect dynamique et ouvert, d’autre part.
La production
romanesque de l’auteur illustre ces deux expressions
du vivant : face à
la terreur de l’absence de sens surgit une profusion
toujours
renaissante de formes.
L’Avancée
et, jusqu’à un certain point, Ressemblances,
témoignent du
premier versant : l’auteur donne à voir une humanité
désormais
orpheline et suicidaire. Dans L’Éternité de temps
en temps, Abel
des Landes et Domino, l’écrivain
considère au contraire
le versant qui est le sien, celui d’un tragique actif
et créateur.
La
page blanche amène ainsi l’écrivain à approfondir une
parole amorale,
plurielle et jubilatoire. Il y a chez Raymond-Thimonga,
comme le dit Marcel Raymond à propos
de Jouve,
« une poésie du divin et non [une] poésie de Dieu ».
Comment distinguer
l’une de l’autre, dira-t-on ? Le divin nomme ici une
aspiration
fondamentalement indécise, plurielle, enchanteresse et
athéologique.
Puissance de vie, la divinité de l’homme réside dans
sa capacité de
créer. (… ) Les romans de Raymond-Thimonga envisagent
ainsi les deux
devenirs ou tournures possibles du vivant : créer ou
tuer (renaître ou
renoncer). »
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Page
d'accueil des Actualités |
Colloque
d'Arras
19-20 Mai 2022
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Colloque
d'Arras
19-20 Mai
2022
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9h00 : Accueil des participants
Introduction
par Dorothée
Catoen-Cooche, Machteld Castelein,
Béatrice Bonhomme
(Organisatrices
du
Colloque)
Jeudi
19 mai : Matinée
Relations
entre Jouve et ceux qui ont
été… ou qui auraient pu être… ses amis
Présidente
de
séance : Béatrice Bonhomme (université
Côte d’Azur)
9h30 :
Rim
Amira (université Paris VIII) : Jouve et
le surréalisme : le
procédé de l’anamorphose à travers le
personnage double
10h00 :
Ananivi Koudouovoh (CY Cergy-Paris
Université) : Jouve en dialogue
avec Kafka
10h30 :
Jean-Paul Louis-Lambert (webmestre du site
pierrejeanjouve.org) : Ma
Mère dans les Années profondes. Une
fiction détective dont Pierre Jean
Jouve et Georges Bataille sont les héros
11h00 :
discussion
+ pause
11h30 :
Géraldine Lombard (directrice de
la Série
Jouve de la RLM) : Jouve et
Balthus : une conversation en
miroir
12h00 :
Pierre-Marie
Deparis (président fondateur des Amis de
Henri le Fauconnier) : Le
Gynécée d’André Rouveyre et Rémy de
Gourmont : un arrêt méconnu de
Pierre Jean Jouve. Contribution à la
connaissance de Pierre Jean Jouve
vers 1909
12h30 :
discussion
et pause
Jeudi
19 mai : Après-midi
Une
alliance via la musique
Présidente
de
séance : Dorothée Catoen-Cooche
(université d’Artois)
14h00 :
Jérémie Berton (docteur ès lettres de
Paris
X) : Le poème démesuré :
poétiques musicales de
Pierre Jean Jouve
14h30 :
Marie-Antoinette Bissay (université des pays
de l’Adour) : Pierre
Jean Jouve et Michèle Finck, la musique
comme entrée en poésie
15h00 :
Armando Del Romero (docteur ès philosophie)
: Scriabine, Jouve,
accords mystiques
15h30 :
discussion
et pause
16h00
: Myriam
Watthee-Delmotte (émérite
FNRS et
UCLouvain, Académie royale de Belgique) et
Adrien Tsilogiannis
(compositeur, violoncelliste) : Rémanences
de Pierre Jean
Jouve dans la création musicale et
littéraire contemporain :
- Vidéo (première vision) de la
création musicale d’Adrien
Tsilogiannis sur le poème « Mnémosyne »
et entretien avec le compositeur
- «
Poursuivre après l’effondrement ».
Lettre à Pierre Jean Jouve de Myriam
Watthee-Delmotte accompagnée au
violoncelle par Adrien Tsilogiannis
16h45
:
pause
17h00 :
Lectures
par Béatrice Bonhomme accompagnée
au violoncelle par Adrien Tsilogiannis
Vendredi
20 mai
Écrivains
ayant des affinités avec
Jouve
Matin
: Écrivains d’aujourd’hui
Président
de
séance : Myriam Watthee-Delmotte (émérite
FNRS et UCLouvain, Académie
royale de Belgique)
9h 00 :
Béatrice Bonhomme (université Côte d’Azur) :
La réception de Pierre
Jean Jouve dans l'œuvre de deux écrivaines
contemporaines : Marie
Etienne et Michèle Finck
9h30 :
Machteld Castelein (KU
Leuven) : Pierre-Alain
Tâche et « l’Ombre d’Hélène »
10h00 :
discussion
et pause
10h 30
: Eric
Dazzan (université de Bordeaux) :
Postérité de Pierre Jean Jouve :
le motif de la blessure chez Claude
Louis-Combet
11h00 :
Françoise Salvan-Renucci (université de Nice
Sophia-Antipolis) : «
Sous le marbre des morts l’entrée d’un
paradis » : retour sur la
présence de Pierre Jean Jouve dans le
discours poétique des chansons de
H.F. Thiéfaine
12h :
Discussion et pause
Après-midi
: Écrivains d’hier
Présidente
de
séance : Machteld Castelein (KU
Leuven)
14h00 :
Anis
Nouaïri : Jouve intercesseur : son
influence sur la poésie
arabe contemporaine (Salah Stétié ;
Adonis)
14h30 :
Stéphane Cunescu (université de Liège) : Franck
Venaille en miroir
de Pierre Jean Jouve
15h00 :
Discussion
et pause
15h30 :
Maxime
Deblander (UC
Louvain) : Dans le
sillage de Pierre Jean Jouve. Henry
Bauchau et Pierre Emmanuel
: écrivains de la rupture ?
16h00 :
Laura
Mainguy (université de Rennes) : « Tout
y est vanité et poursuite
du vent ». Pérégrinations vers « le Grand
Vide au bout du monde » chez
Pierre Jean Jouve et Giorgio Caproni.
16h30 :
Discussion
17h 00 :
Conclusion par les organisatrices
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Dans
la Presse |
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Á propos de :
« Une saison
dans le roman. Explorations
modernistes :
d’Apollinaire à
Supervielle (1917-1930) »,
d’Emilien Sermier,
Corti, « Les
essais », 606 p.,
26 €.
|
«
Une saison dans le roman
», d’Emilien Sermier : audacieux romanciers
français de
l’entre-deux-guerres
Un stimulant essai d’Emilien Sermier met en
lumière la richesse des
expérimentations littéraires des années 1918-1930
dans l’Hexagone.
par Jean-Louis Jeannelle
Le
Monde
du 6 mai 2022
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«
L’hétérogénéité
du corpus qu’Emilien Sermier est le premier à
révéler étonne. Quels
liens entre les doubles poétiques que Philippe
Soupault se donne dans Le
Bon Apôtre (1923),
l’érotisme mystique déployé par Pierre
Jean
Jouve dans Paulina 1880
(1925), et la
violence nihiliste troublante qui saisit Blaise
Cendrars, amputé de son bras
droit durant la guerre, dans
Moravagine (1926) ? Au gré d’analyses
très pointues, Sermier
fait apparaître d’innombrables correspondances
entre des auteurs unis
par leur goût des extrêmes. Extrêmes dans
l’outrance, comme Graboulinor,
de Pierre
Albert-Birot (1933), sorte
d’épopée composée d’une seule
et interminable phrase sans ponctuation, ou, à
l’inverse, dans la
concision et la densité, chez Paul Morand,
Raymond
Radiguet ou Blaise Cendrars,
adeptes de
récits « express », tout en
raccourcis et en
ellipses.» |
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Publications
2021
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Géraldine
Lombard (direction)
La
Revue
des lettres modernes 2021 – 7
Pierre Jean Jouve N°
10
Jouve
traducteur, Jouve traduit
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Présentation
Pierre Jean Jouve est surtout connu comme écrivain,
poète et romancier,
mais il a également été traducteur de certaines
œuvres de Shakespeare,
Ungaretti, Rabindranath Tagore, Kipling, Saint
François d’Assise,
Hölderlin, Sainte Thérèse d’Avila, Góngora ou encore
Montale. Parfois
associé officiellement à des traducteurs
professionnels, il a su mettre
son talent poétique au service des œuvres traduites,
le plus souvent de
la poésie. Ce dixième volume, qui réunit
spécialistes et amateurs
éclairés, montre dans sa première partie l’apport
personnel de Jouve à
certaines traductions et permet de poser une
question
fondamentale : traduire pour lui, n’était-ce
pas aussi
réécrire ? s’approprier l’œuvre d’autres
auteurs en la modelant à
son image, en l’imprégnant de ses interrogations
métaphysiques ?
La deuxième partie du volume s’intéresse à la
traduction des œuvres de
Jouve hier et aujourd’hui pour en dresser un
panorama. Enfin, un
entretien avec le poète Yves Bonnefoy clôt
l’ensemble, miroir éclairant
de deux poétiques connexes mais aussi témoignage de
la relation entre
ces deux grandes figures littéraires du xxe siècle.
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SOMMAIRE
Sommaire
[Dédicace]
Sigles et abréviations
Avant-propos,
par Géraldine Lombard
PREMIÈRE
PARTIE / JOUVE TRADUCTEUR
Jouve traducteur
de
Ungaretti – Le laboratoire Jouvien,
par Éric Dazzan
Jouve et la
traduction de « Phénix et Colombe de Shakespeare »
– Une flamme mutuelle,
par Machteld Castelein
« Les trouvailles
de Jouve » – Quelques promenades en compagnie d’un
poète qui a beaucoup
traduit sans connaissance des langues étrangères
(Une Fantasie),
par Jean-Paul Louis-Lambert
|
DEUXIÈME
PARTIE / JOUVE TRADUIT
Traduire la poésie
de Pierre Jean Jouve en arabe, par Anis
Nouaïri et Besma
Kamoun-Nouaïri
La traduction des
œuvres de Pierre Jean Jouve au Japon, par
Takayuki Ozaki
État de la
traduction des œuvres de Pierre Jean Jouve en
langues étrangères,
par Géraldine Lombard |
TROISIÈME
PARTIE / ENTRETIEN
Entretien avec
Yves
Bonnefoy, par François Lallier
QUATRIÈME
PARTIE / CARNET
CRITIQUE
(pdf en libre accès)
Jacques Darras,
Tout Picard que j’étais – L’exceptionnelle
richesse littéraire de la
Grande Picardie à travers les siècles, par
Jean-Paul
Louis-Lambert
|
ANNEXES
(pdf en libre accès)
État de la recherche universitaire sur Pierre Jean
Jouve
Liste des documents audiovisuels concernant Pierre
Jean Jouve présents
sur internet
Liste des œuvres traduites par Pierre Jean
Jouve
Index des noms de personnes
Résumés
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►
Vers
notre page spécialisée
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Marie
Étienne
L'Inaccessible
est
toujours bleu
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► Lien avec les
Éditions Hermann
Collection "Vertige de la Langue"
|
« L’Inaccessible
est toujours bleu est le titre, très
énigmatique, d’un livre de Marie
Étienne, publiée aux éditions Hermann,
dans leur collection
“Vertige de la langue”. Dans son introduction à ce
livre, composé d’un
choix personnel d’articles critiques publiés sur
divers supports, dont La
Quinzaine littéraire et En attendant
Nadeau, Marie
Étienne écrit : “[Mon désir] n’est pas de me cacher
mais d’observer le
monde depuis mon lieu d’habitation. Et mieux encore
si c’est possible :
de converser avec. Fabriquer, fomenter des articles
m’en fournit le
moyen. J’écris sur toi qui quelquefois répond. Ou
pour la galerie.
L’article, plus et mieux que le livre, est adressé :
à l’auteur de
l’ouvrage « chroniqué », aux lecteurs potentiels ;
aux confrères et
consœurs les critiques.” Tout est dit – et de
manière tellement juste.
»
« Tout passionné par les livres d’Anne-Marie
Albiach, Martine
Broda, Danielle Collobert,
Jean-Christophe
Bailly, Peter Handke, Pierre
Jean
Jouve, Jacques Roubaud,
Marina
Tsvetaeva (liste très sélective) lira
avec profit L’Inaccessible
est toujours bleu, ce beau rassemblement de
textes avec, plus que
“sur”, publié enfin sur papier (avec une couverture
rouge, comme Le
Lotus bleu) »
|
Le
chapitre où Marie Etienne
nous conte ses rencontres avec des
œuvres et un auteur, il
s'agit de Pierre Jean Jouve, s'intitule
: « L'Ange et la Bête
», et il y est question d'Aventure de
Catherine Crachat
et Hécate.
«
C'est Catherine Crachat qui
parle, au tout début d'Hécate. "J'avais
toute ma jeunesse. Je
vivais seule dans cet appartement, sur ce
jardin", et qui s'apprête à
raconter une aventure passée mais toujours
douloureuse.
Une entrée
en matière magnétique.
En raison du Jardin dont on ne sait ce qu'il
recèle ? Du désespoir de
l'héroïne et du mépris qu'elle a d'elle-même ?
"J'ai une égale horreur
pour mon nom et pour mon portrait. Il faut
supporter les deux." Ou du
ton adopté par l'auteur, un mélange de sublime
("… elle portait le
deuil d'un très grand et très unique amour
perdu") et de vulgarité ("…
elle fit des choses assez grossière avec cet
homme jusqu'au matin" (il
s'agit d'une rencontre de hasard) ? »
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Dorothée
Catoen-Cooche
(direction)
Pierre Jean Jouve :
dans l'atelier de
l'écrivain
|
Hermann
Vertige de la
langue
2021 |
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Présentation
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Pour
des écrivains et des artistes
d’hier et d’aujourd’hui, Pierre Jean Jouve reste
une référence
privilégiée. Quelles leçons ce grand écrivain,
romancier, poète,
musicologue, critique et traducteur nous a-t-il
léguées ?
«
L’atelier »
d’un artiste n’est-il pas un lieu qu’il est
indispensable d’explorer ?
C’est cette visite que se propose de présenter
cet ouvrage, issu d’une
manifestation scientifique internationale qui
eut lieu en mars 2018 à
l'université d'Artois. A travers 23
contributions
d'enseignants-chercheurs, mais aussi de poètes
et d'artistes, sont
abordés 5 thèmes principaux qui permettent de à
mettre en lumière
l’importance de cet écrivain qui apparaît non
seulement comme l’un des
pères fondateurs de la poésie contemporaine,
mais aussi comme un
précurseur dans l’art du roman moderne et de la
critique d’art.
540
p., 39 €, ISBN : 9791037008435
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Notre Page
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Lien avec l'Éditeur
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Introduction
(extraits)
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Le
colloque
d’Arras de mars 2019 avait pour ambition d’éclairer
ce creuset où
l’informe prend forme, en mettant l’accent sur le
faire, sur la
recherche solitaire, mais aussi sur le compagnonnage
au sein de
l’espace de travail. Le poète ne refait jamais le
monde seul. Il marche
dans les pas de prédécesseurs qui l’orientent, et il
vit entouré par
des camarades d’atelier.
|
Cette manifestation scientifique arrageoise a donné
l’occasion à la
communauté jouvienne de se réunir une nouvelle fois,
ce qui ne s’était
plus produit depuis 2012. Elle a ainsi permis des
échanges aussi
passionnants que chaleureux. Jouve est un auteur qui
réserve toujours
des surprises : la vaste matière qu’il nous a léguée
reste inépuisable,
et les études qu’elle exige révèlent des strates
profondes. Le présent
ouvrage ne constitue certes pas un aboutissement. Il
ne s’agit pas pour
nous d’achever mais d’ouvrir et de fédérer. C’est
une nouvelle étape de
notre travail (...). La communauté jouvienne
souhaite engager un
travail collectif afin de permettre à cet auteur de
trouver sa juste
place dans les histoires littéraires à plus grande
diffusion, et,
pourquoi pas, dans les sujets de concours. C’est
pourquoi ils
souhaitent poursuivre leur enquête et continuer à
mettre en lumière
l’importance de cet écrivain qui apparaît non
seulement comme l’un des
pères fondateurs de la poésie contemporaine, mais
aussi comme un
précurseur dans l’art du roman moderne et de la
critique d’art. […]
|
Texte
complet de l'Introduction sur
notre
page ►
Dorothée Catoen-Cooche,
Béatrice Bonhomme,
Myriam Watthee-Delmotte
et Jean-Paul Louis-Lambert.
Avec la collaboration de Philippe
Raymond-Thimonga
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Le Colloque
international d'Arras : Pierre
Jean
Jouve : dans l'atelier de l'écrivain des 21, 22
et 23 mars 2019 et
l'édition des Actes ont reçu le soutien de
l'Université d'Artois
(Laboratoire Textes et Cultures), de
l'Université Côte d'Azur (Centre
Transdisciplinaire d’Épistémologie de la
Littérature et des arts
vivants, CTEL), de l'Université catholique de
Louvain (Institut des
Civilisations, Arts et Lettres, INCAL) et de
la Société des lecteurs de
Pierre Jean Jouve.
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