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L'Adaptation de Paulina 1880
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Lien avec la page Jean-Louis Bertucelli de Wikipédia |
Paulina 1880 Film
de Jean-Louis Bertucelli (1972) |
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Fiche technique
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Fiche technique de Paulina 1880 d'après l'Internet Movie Database |
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Distribution |
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Distribution d'après l'Internet Movie Database |
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Pierre Jean Jouve : "Le Travail d'un parfait ouvrier"
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Le Monde 9 juin 1972 |
"Si la concision est le style de l'oeuvre écrite, la même concision se produit dans l'image de Jean-Louis Bertucelli. Peu de mouvements, ce qui n'empêche pas mille beaux objets de passer sous nos regards dans l'atmosphère si prenante des situations italiennes, villas, palais, galeries, jardins de cyprès. Mais l'essentiel est caché derrière ces fastes : une fatalité terrible" |
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Jean-Louis Bertucelli : "Le premier personnage du roman est le décor" |
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Le Monde 9 juin 1972 |
"Dans le roman de Jouve, j'ai aimé d'abord la sobriété et la rigueur de l'écriture. Sa puissance d'évocation aussi : en deux lignes une atmosphère est créée. Il existait donc au départ une certaine identité de style, une même exigence chez l'auteur et chez moi, de force, de simplicité et de précision. J'ai été saisi par le personnage de Paulina, par sa violence et son sentiment de culpabilité Cette femme hors du commun, hors la loi, étouffée par la société dans laquelle elle vit, mais en même temps très sensuelle, est en proie à une soif d'absolu qui se double d'un puissant instinct de destruction." |
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Patrick Loriot : "Un italien retrouve l'Italie" |
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Le Nouvel Observateur 5 juin 1972 |
"II est depuis longtemps question d'adapter Paulina 1880 au cinéma. Longtemps, Romy Schneider, qui voulait à tout prix jouer le rôle, envoyait à Pierre Jean Jouve des télégrammes qu'elle signait "Paulina". Mais Jean-Louis Bertucelli ne voulait pas de vedettes trop connues. La descendante des héroïnes de Stendhal et de Barbey d'Aurevilly devait avoir pour le public un visage neuf. Dans le film, elle a deux visages : la très jeune Eliana De Santis, une très troublante adolescente italienne, et la Grecque Olga Karlatos, l'héroïne des Pâtres du désordre, qu'avait tourné son mari, Niko Papatakis. Mais il y a aussi Maximilien Schell, Michel Bouquet et Sami Frey..." |
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Page réalisée par Jean-Paul Louis-Lambert | |||||||||||||||||||||||||||||||||
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Dernière mise à jour : 6 octobre 2012
Première mise en ligne : 13 septembre 2011
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